Une Journée Au Soleil Avec Ma Demi-SœUr

-- ATTENTION HISTOIRE POUR LECTEURS AVERTIS --

Cette histoire ressemble à de nombreuses que j'ai pu lire ou voir sur internet et je croyais sincèrement que ce n'était que des fantasmes jusqu'au jour où !

Je m’appelle Patrick, 23 ans, 1m78, blond foncé, yeux bleus. Je passe la dernière semaine d'été en vacances chez ma mères. En effet, cela fait un an que j'ai quitté le cocon familial pour m'installer seul dans un appartement
non loin de mon boulot. Mais évidemment l'inconvénient l 'espace extérieur inexistant. Pour moi qui aime me faire bronzer c'est frustrant. Mais bon, j'ai toujours ma chambre ici. Plus exactement, j'ai une demi-sœur, Fanny,a prit ma mienne lors de mon départ et j'ai la sienne quand je reviens quelques jours.

Aujourd'hui après-midi je décide de prendre un bain de soleil dans le jardin. Je m'installe donc en maillot de bain sur un transat. Je suis sur le point de m'endormir quand fanny arrive :
«  Salut frérot ! Comment ça vas ? »
« Ça va ! »
« Tu bronze !? »
« Ah, tu sais bien, j'en ai besoin . »
« Sais-tu où es maman ? Je ne la trouve pas ! »
« Elle est partie faire des courses, je crois ! »
« Ah bon, ça te dérange si je m'installe ici pour l'attendre ? »
«  Non, vas-y ! »
« Je peux prendre ton essuie de bain ? »
« Fais comme chez toi ! »
Sur ce, elle l'étends au sol à l'ombre d'un arbre et se couche sur son côté pour lire un livre qu'elle avait avec elle. D'où je suis, j'ai une jolie vue sur ses fesses. Il faut dire qu'elle plutôt bien faite, avec son mètre soixante-quinze, ses cheveux châtain et ses yeux bleus, elle a fait bander plus d'un garçon et je dois l'avouer, moi aussi. En plus, elle à mit un joli deux pièces rose qui ne recouvre presque rien. A la maison elle se permet parfois de porter certaines choses rien que pour voir la réaction de notre mère.
« Tu reste là toute l'après-midi ? »
« Oui, faut bien profiter du soleil quand il est là »
Profitant de la discussion, je me positionne pour avoir une vue encore plus directe sur elle.

Elle a une jambe tendue posée au sol alors que l'autre est pliée, le pied a plat. Dans cette position, , non seulement, je vois ses jolies petites fesses, mais aussi son entre-jambe. Le string de son maillot ne cache presque rien et je peux donc m’apercevoir que son sexe est soit rasé, soit épilé. En tout cas, je ne vois aucun poil. Nous continuons à parler et comme elle est déjà plongée dans sa lecture elle ne remarque pas que je l'observe. Et comme je vous l'ai dit au début, ce que j'ai vu sur certains sites, me font fantasmer sur ce qui pourrait arriver. Mais naturellement cela n'arrivera pas, d'autant qu'elle se retourne pour se mettre sur ventre et ainsi limité ma vision à son cul. Mais cela suffit pour faire naître une légère érection qui commence doucement à tendre le tissu de mon maillot déjà très serrant. Les minutes passent et tout à coup elle se retourne et en me voyant, elle dit :
« Hé, mais tu me mate !? »
Un peu gêné, je lui réponds : « Heu oui, il n'y a rien de mal !? »
«  Mais je suis ta sœur ? »
« Et alors, tu me montre ton cul, je ne vais pas fermer les yeux. Tu sais d’ailleurs qu'il est très joli ! »
«  Ouais, mais je suis ta sœur, alors...si tu veux te rincer l’œil, vas voir si les voisines sont là ! »
« J'ai été, mais elles sont parties. »
Et prenant un peu d'assurance je lui dit :
« Tu sais pour le moment j'ai pas de copine ! Et tu sais que tu fais fantasmer pas mal de garçons ! »
« Oh... qu'est-ce que tu veux dire là ?  J'ai dis, je suis ta sœur! »
Et comme malgré cela, elle ne semblait pas vouloir partir ou même cacher l'objet de mon envie, je me suis montré plus entreprenant.
«  Tu sais tu me donne vraiment envie et c'est pas la première fois ! D’ailleurs regarde ! »
Je lui montre montre la bosse de mon maillot qui maintenant était tendu à son maximum. Elle me regarda et
« Mais tu n'aura rien. »
« Pourtant je sais que tu aime le cul. »
« Peut-être, mais tu es mon frère. »
« Mais ça ne fait rien, en plus je suis ton demi-frère. Tu peux bien me faire un petit plaisir.»
« Non,... non... »
Je voyais son regard posé sur mon entre jambe et l'intonation de sa voix se faisait de moins moins catégorique. Je me suis lever pour aller m'asseoir à coté d'elle, toujours en me montrant insistant. Et là son discours changea. De « non », elle passa à « Et si quelqu'un nous voyait », « Et si maman rentrait ? ». Le refus net du départ était déjà devenu un refus de peur d'être surpris. Peut-être avais-je ma chance ? Je balayais ses arguments tout en me rapprochant de plus en plus d'elle mais sans vouloir pour autant la toucher.
« Mais dans le temps on a bien joué au docteur ? Tu te rappelle ? »
« Oui, mais il y a longtemps, maintenant ça a changé, on a changé. »
« Oui, tu as goûté de la bite, mais pas la mienne ! »
Je me faisait plus entreprenant tant en paroles qu'en geste et je tentais de poser ma main sur l'intérieur de sa cuisse. Elle me dit « J'ai dis non ! » et elle la retira.J'insistais et elle la retira à nouveau. Je lui rappela alors/
« Dans le temps c'est toi qui me demandais de te toucher et maintenant que c'est moi qui veux .. , tu ne veux plus! »
Elle mit un petit temps avant de répondre
« c'était il y a longtemps. »
«  Longtemps, longtemps... ça fait à peine trois ans que tu ne me l'as plus demandé. »
Je commençais alors à essayer de la toucher un peu partout, comme le font des frère et sœur quand ils jouent à se taquiner, à se chatouiller. Elle se tortillait dans tous les sens et avait posé son livre sur le côté. Après quelques minutes de ce jeu, je me suis arrêter pour voir ce qu'elle allait faire. Elle ne bougea pas, elle prit ma bouteille d'eau pour boire et c'est là que je posais à nouveau ma main sur sa cuisse. Elle me demanda cette fois d'arrêter, mais ne fit rien sinon continuer à boire. Je tentais alors de remonter pour passer sur ses seins et encore une fois elle me demanda d'arrêter, j'insistais et elle me laissa faire. A part un :
« Tu es chiant. »
Mais je remarquais qu'elle boudait un peu et je lui proposa alors de me montrer si elle avait des poils sur sa chatte et je la laissais tranquille.
« Je le fais et tu me fou la paix ? OK ! »
Elle écarta les jambes , tira sur son string et me montra qu'elle n'en avait pas, elle s'était fait épilée. Ce ne fut là qu'un confirmation de ce que j'avais déjà deviné au rebut. J'ai toutefois tenté de toucher, mais elle refusa. Je pris alors le parti de la provocation e, lui disant :
«  Puisque tu m'as montré ta chatte, je vais te montrer ma queue. »
Je baissais mon maillot et en jaillit ma bite, elle était enfin libérée.
« Oh... cache ça. » fit-elle en tournant la tête ;
« Quoi ? Qu'est ce qu'elle a ? »
« Elle est trop grosse. C'est monstrueux. »
«  Pourquoi, elle est trop grosse ? Tes mecs, ils ont tous des petites bite, des tournevis ?»
« Non... mais ils n'en n'ont pas une si grosse.. »
Dit-elle d'un ton presque envieux en la regardant. Je tenant maintenant ma queue en main et je commençais tout doucement à me branler tout en continuant à l'encourager à y goûter. Elle dit encore « Non », puis ce fut un refus mais uniquement de la tête. J’espérais qu'en insistant mais plus doucement, elle finirait par craquer, je continuais donc à lui demander de me sucer. Mais rien n'y fait si ce n'est qu'elle ne me disait plus rien. Je changeait à nouveau de tactique et cette fois je lui saisi les poignets, la coucha sur le dos et je m'assis sur elle de façon qu'avec une main je lui plaque les bras au dessus de la tête. Et avec l'autre j'allais passé dans mon dos pour la glisser entre ses cuisses.
Elle résista avec la force qu'elle avait, mais c'était insuffisant,
« Arrête,... mais arrête... » me demanda-t-elle. Il n'en était pas question et je glissais mes doigts contre son sexe.
« Mais tu es toute mouillée ? »
Elle ne répondit pas et bloquant ses bras en posant mes genoux dessus, je continuais à m'occuper de sa chatte, j'y introduit d'abord un puis deux doigts, elle ne réagissait plus si ce n'ai symboliquement par des « arrête » de moins en moins prononcés. Je continuais à la caresser jouant maintenant avec son clito. Elle ne bougeait plus, si ce n'es sa poitrine qui montait et descendais de plus en plus rapidement. Je remarquais maintenant qu'elle regardait ma bite qui était toujours sortie et je saisi sa nuque d'une main et ma queue de l'autre pour le rapprocher. Elle ne résista presque pas et sa bouche s'ouvrit dès que ma queue toucha ses lèvres. Je me redressais pour lui dégager les bras et elle me saisi la bite avec une main pour la faire glisser en bouche. Comme je n'avais plus besoin de la maintenir, je recommençais à jouer avec son clito.
« Tu vois que tu aimes la sucer. Tu n'en n'as jamais vu d'aussi grosse ! »
« Non... mais c'est tout maintenant... arrêtes... »
« Pourquoi ? Profites-en ! »
Je pris sa tête et cette fois c'est moi qui lui imposa un rythme pour me sucer. De plus mes doigts s'enfonçaient de plus en plus profond dans sa chatte et elle en ressentait les effets. Et en plus de lui donner un premier orgasme, cela fit tomber ses dernière résistances. Elle saisi ma queue et ne la lâcha plus et glissait sa bouche le long de ce mât alors que sa langue jouait avec mon gland elle croyait me faire jouir au plus vite, mais je dois avouer que je me maîtrisais assez bien. Elle finit pas arrêter et prit une gorgée d'eau, elle avait soif.
« C'est pas avec cela que tu vas te débarrasser de moi. »
«  Je sais qu'est-ce que tu veux vraiment ? »
Et sans attendre ma réponse, elle me branla de plus en plus vite, mais rien n'y fit, je gardais le contrôle et ce même si je sentais que cela devenait de plus en plus difficile. Pour la calmer, je la repoussa, et entama de lui lécher les tétons et d'une main de lui caresser le clito. Il était évident qu'elle en voulait aussi, elle ouvrit les cuisses pour me faciliter le passage et dénoua son dessus pour m'offrir ses deux mamelles gonflées d'excitation. Elle commença à pousse de petits cris au fur et à mesure que son second orgasme approchait jusqu'à pousser un cri de plaisir quand il lu parcouru tout le corps. Elle mouillait de plus en plus et je ne me suis pas arrêté de la caresser si bien qu'elle se tortillait dans tout les sens comme désarticulée. Elle finit par s'immobiliser sur le dos, mes doigts dans sa chatte et les jambes parcourue par de multiples spasmes. Je lui laissa quelques instant pur récupérer avant de lui proposer :
« Tu veux que je te baise maintenant !? Cette grosse bite, tu la veux dans ta chatte. »
« Oh... oui... je la veux... »
Nous avons retiré le peu de vêtements qui restait et elle le coucha sur le dos, écarta les jambes pour m'offrir un entrée royale vers son trésor. Mais au lieu de lui enfoncer ma queue, je posa mes lèvres sur son clito pour le saisir et jouer avec , ma langue elle allait de l'entrée se vulve jusqu'à son clito. Elle eu droit à ce traitement de longue minutes et ensuite je me suis tourné pour lui proposer ma bite et nous étions maintenant en un 69. Elle voulu ensuite prendre la direction des opérations et me retourna pour continuer mais avec elle au dessus. Elle s'activa si bien que quelques instant plus tard je déchargea un première fois dans sa bouche. Elle goûtait enfin mon foutre et pour une première fois, elle l'avala. Elle se redressa et triomphante lança :
« Voilà, j'ai goûté à ta bite et même à ton sperme, je dois avouer j'ai aimé, mais maintenant c'est fini. »
« C'est ce que tu crois, j'en veux plus, je veux enfoncer ma queue dans ta chatte. »
« Mais tu as... tu as déjà... »
« Quoi ? ... éjaculé ! Et alors.. »
J’attirai alors son attention sur a queue encore bien raide. Certes un peu moins, mais il ne dépendait que d'elle pour lui faire retrouver toute se vigueur.
« Quoi ? Ton copain, non seulement il a une petite bite mais en plus il te laisse tranquille dès qu'il a éjaculé une première fois ? Mais tu dois en changer. Je vais te montrer ce que peut faire un vrai mec. »
Pas peu fier, je saisi sa main et l'invita à s'occuper de ma bit. Elle la glissa le long, joua avec mon gland et il ne fallut pas longtemps pour qu'elle retrouve sa raideur. Elle fut surprise, mais je lis dans ses yeux le désir de l'avoir en elle. Je la coucha sur le dos, elle posa ses pieds sur mes épaules, écarta les cuisses et posant de tout mon poids sur ses jambes, je glissa doucement mais sûrement ma bite dans sa chatte. Elle avait saisi ma tête entre ses mains et me tirait vers elle comme pour m'inviter à entrer de plus en plus loin. Et ce fut mes couilles contre ses fesses qui stoppèrent ma progression dans son intimité. Je commençais mon mouvement de vas et vient de plus en plus rapide, de plus en plus violent. Je la sentis réagir à chacun de mes mouvements jusqu'à ce qu'elle soit à nouveau envahie par un orgasme encore plus fort que les précédents. Mais je n'en avais pas encore fini avec elle et je lui demanda de venir sur moi pour s'empaler sur ma queue. Bien que déjà épuisée, elle obtempéra, peut-être par manque de volonté ou parce qu'elle ne voulait pas s'avouer vaincue. Elle positionna sa chatte sur mon gland et doucement elle se laissa glisser, ensuite, elle prit les commandes et joua avec les muscles de son vagin et la vitesse de ses mouvements. Elle tenu comme cela pendant dix bonnes minutes et je sentis qu'elle allait parvenir à ses fin. Mais j’avais encore une envie, je voulais la sodomiser. Je la savais presque au bout, je lui proposa alors de prendre ma queue dans son cul. Il serait plus serré elle pourrait donc plus facilement me faire jouir. Je croyais qu'elle allait refuser imaginant qu'elle était encore vierge de cette entre, mais à mon grand étonnement, elle ne dit rien, se retira de ma queue et d'un coup s'enfonça ma bite dans le cul. Je fut si surpris et ce fut si violent que je pu me retenir que quelques minutes de plus et une nouvelles fois je la rempli, mais cette fois dans le cul. Lorsqu'elle se releva avec un grand sourire, je vit un assez belle quantité de sperme couler de son anus. Elle passa sa main pour en récupérer le plus possible et me défiant du regard, elle le porta à sa bouche pour encore un fois tout avaler. Après quoi elle s'écroula sur le côté et couchée en étoile me dit :
« Je crois que je vais changer de petit ami, mais en attendant, je peux aller passer la fin des vacances chez toi ? »
Sur ce, nous entendons notre mère nous appeler et à peine temps de remettre nos maillots, qu'elle apparut.
Elle avait dû remarquer ou peut-être même voir quelque chose car elle nous dit :
« C'est pas comme cela que vous aller améliorer votre bronzage ! »
« Heu... pourquoi cela maman ? » demanda Fanny.
« Sous un arbre c'est beaucoup moins efficace ! » dit elle avant d'ajouter avec un grand sourire :
« La prochaine fois j'aimerai que vous me proposiez de ... participer ! »
dit-elle en s'éloignant.
Mais cela est une autre histoire.